samedi 24 mai 2014

Wir leben noch (nous vivons encore)

Chers lecteurs, ne vous en faites pas, nous reviendrons bientôt vous conter nos aventures. Nous avons eu d'autres chats métaphoriques à fouetter ces dernières semaines, ainsi que celui de mes parents à caresser d'ailleurs, en nous mariant, en voyageant... et en revenant à la routine accompagnée du SAV mariage - histoire de ne pas jouer les ingrats après avoir tant reçu.

Pour ne pas vous laisser languir, voici deux morceaux choisis de notre vie allemande depuis notre retour.


Sur cette photo, je préférerais être à la place de ma petite sorcièce sur son balai.


Toute guillerette et motivée (blague), cette année j'ai fait non pas une mais deux déclarations d'impôts, une en France où je ne touche quasiment plus rien, une en Allemagne où je suis salariée - Dômeu lui touche une bourse sans impôts. En Allemagne, même si le salaire est déjà touché net d'impôts, on peut remplir une déclaration qui permet souvent de gagner de l'argent, en faisant marcher les différentes réducs d'impôts (y compris des choses comme installation d'un bureau chez soi), et aussi simplement en indiquant ce qu'on a gagné parce qu'apparemment le cadre administratif qui permet de dénuer le salaire d'impôts n'est pas parfait. J'ai pas tout compris. Je me suis contentée de retrouver mes papiers (pas mon fort), de recopier en ligne (pratiiique avec le calculateur intégré) mon salaire et ses charges, j'ai indiqué combien de kilomètres je parcourais jusqu'au boulot et pof je devrais toucher une centaine d'euros. 


Dans cette série pas encore finie par Dômeu vous trouverez une recette de soupe à la fraise dont il est fou.

Qu'allons nous faire de tout cet argent ? Dômeu qui est mon mari et avec qui je partage mes revenus (mais surtout mon assurance-maladie, car mon mari gagne plus que moi comme il se doit) veut se faire péter la panse de fraises. A 2,75€ les 500g ça devrait être possible... Mais notons qu'avec des spécimens comme cette fraise de 73g, ça ne fait pas beaucoup de fraises.

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