Autant le dire d'emblée, je n'ai pas la réponse à cette question (qui a suscité 177 millions de vues, au moment où j'écris ces lignes). Mais par contre, mon observation du mois dernier me permet d'affirmer la chose suivante :
Le renard est un animal sadique (et le mulot/la souris est un animal crétin).
Image piquée à la memebase. Merci à elle.
En effet, du fait de la proximité avec la forêt de Grünewald (là où Mahällö va courir le week-end), il y a des renards qui se promènent de temps en temps sur les pelouses de l'institut (sauf quand elles sont occupées par les fêtes d'été). Il y a aussi des écureuils, mais c'est plus commun.
D'où mon observation de l'autre jour : un renard se tenait sur l'un des chemin qui traversent le jardin anglais et ne s'écartait pas à mon approche. Je compris assez vite pourquoi : un mulot/une souris se tenait juste à côté. Pour le renard, il eût été balot de la laisser filer, mieux valait la ranger au chaud dans sa gueule. Ce que le renard fit prestement.
Mais au lieu de déguerpir une fois son méfait accompli, le renard sembla changer d'avis et, ouvrant, comme d'autres, un large bec, il laissa tomber sa proie.
Magnanime, le renard ? Pas vraiment, comme nous allons le voir. La souris, toute heureuse, commença par s'échapper prestement avant de s'immobiliser et... de lisser ses moustaches (ou, tout au moins, de faire un truc avec ses pattes de devant).
Du coup, le renard, en un bond, récupèra la souris et l'enfourna de nouveau dans sa gueule. Forcément.
Et il la relâcha. Elle reprit sa toilette.
Et le renard recommença.
Méchant renard ! Stupide souris ! Faut-il agir ?
Et bah, disons que le renard avait les yeux bien rouges, conséquence je dirais (sans être cependant naturaliste ou véto) d'une grande consommation de drogues ou, plus sûrement, d'une maladie qu'il aurait pu aisément me refourguer...
Alors j'ai fait comme certains face aux agressions : j'ai changé de trottoir...
Morale : l'évolution doit encore faire quelques améliorations pour le comportement des animaux.
D'où mon observation de l'autre jour : un renard se tenait sur l'un des chemin qui traversent le jardin anglais et ne s'écartait pas à mon approche. Je compris assez vite pourquoi : un mulot/une souris se tenait juste à côté. Pour le renard, il eût été balot de la laisser filer, mieux valait la ranger au chaud dans sa gueule. Ce que le renard fit prestement.
Mais au lieu de déguerpir une fois son méfait accompli, le renard sembla changer d'avis et, ouvrant, comme d'autres, un large bec, il laissa tomber sa proie.
Magnanime, le renard ? Pas vraiment, comme nous allons le voir. La souris, toute heureuse, commença par s'échapper prestement avant de s'immobiliser et... de lisser ses moustaches (ou, tout au moins, de faire un truc avec ses pattes de devant).
Du coup, le renard, en un bond, récupèra la souris et l'enfourna de nouveau dans sa gueule. Forcément.
Et il la relâcha. Elle reprit sa toilette.
Et le renard recommença.
Méchant renard ! Stupide souris ! Faut-il agir ?
Et bah, disons que le renard avait les yeux bien rouges, conséquence je dirais (sans être cependant naturaliste ou véto) d'une grande consommation de drogues ou, plus sûrement, d'une maladie qu'il aurait pu aisément me refourguer...
Alors j'ai fait comme certains face aux agressions : j'ai changé de trottoir...
Morale : l'évolution doit encore faire quelques améliorations pour le comportement des animaux.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire